Des questions sans réponse Par Dahrabou, 16 ans, Beni Mellal, Maroc.
J’ai cru que je pouvais facilement oublier
Mes blessures internes et ma saveur amère,
Sans que la solitude qu’on peut me causer
Prenne partie de mes sentiments sincères.
J’ai cru que le passé était facile à effacer,
Que la joie séduirait ma tristesse et
Laisserait tout mon amour subit affronter
Les erreurs qu’on peut faire à trop s’aimer.
J’ai cru que cette neige douce et blanchâtre
Pourrait recouvrir tous mes souvenirs noirâtres,
Que le gris deviendrait un bleu très intense
Et que les étoiles décoreraient mon ciel immense... Lire la suite
|